lundi 22 juillet 2013

Une fin de semaine au chalet... tropical

Cela fait étrange de publier ce message alors qu'on vient de traverser une période de chaleur intense au Québec, mais je suis très en retard dans la publication de mes messages. Au moment de cette fin de semaine là, il faisait froid et c'était pluvieux... mais pas au chalet!  

Bon, ok, ce chalet-ci peut accueillir pas mal de monde et il est loin de ressembler à l'image qu'on s'en fait.  Mais dans le fond, c'est quoi un chalet?  Un endroit où on va pour relaxer, pour se changer le mal du pays, pour faire la grosse vie sale?  En écrivant cette dernière expression à saveur québécoise, je me suis tout de même arrêtée à me demander d'où elle venait, où prenait-elle sa source... (c'est tellement étrange nos expressions des fois)  Par opposition, est-ce à dire que le reste du temps on mène une "p'tite vie propre"?

Dans tous les cas!  Vous le savez, je l'ai souvent mentionné que j'ai eu froid durant la dernière année.  Alors, à mon retour une occasion m'a été offerte, et comme il ne faisait pas encore très chaud au Québec, mon amie Nancy et moi sommes allées passer une fin de semaine à Varadero.  Hé oui! Une fin de semaine au chalet... tropical!!  Merveilleux!!

Bien que ce fut court et plus concentré comme séjour, cela m'a fait un grand bien de voyager en "tout inclus".

Cela fait déjà quelque fois qu'on vient à Varadero, autant Nancy que moi, ce que je qualifierais de "New Florida" des québécois! (Oh, quel lapsus politique terrible que je fais là!)  Ce petit coin de paradis ne peut pas nous laisser indifférent, dans un sens comme dans l'autre.  Quand on choisit d'aller là, c'est davantage pour profiter de ses plages uniques et magnifiques au sable blanc, de sa mer bleue translucide et des températures tropicales. Et un peu moins... pour sa nourriture!  On s'entend, que lorsqu'on va au chalet... on ne mange pas comme à la maison!









 












N'empêche, il y a toujours moyen de trouver son compte, il s'agit de se mettre au diapason cubain.  "Quand on est à Cuba, il faut penser comme les cubains".  Je trouve ça très enrichissant personnellement, moi qui avait du mal à dire "non" auparavant, de voir l'évolution que j'ai fait depuis!! Ce que je veux dire c'est qu'on est très sollicité autant pour "offrir des cadeaux" que pour acheter des trucs.  C'est intéressant de voir la dynamique de la place.  Il est vrai que les cubains manquent sans doute de tout, mais c'est vu selon notre propre perception de nord-américain qui a accès à tout.  Alors ils misent sur notre fausse "bonne conscience" et jouent avec nos sentiments de culpabilité avec complaisance (les fins ratoureux).  Alors, on fait acte de bonté, par dessus acte de bonté... on s'achète "leur" paradis terrestre.  







  

Petit Bureau de change... qui ouvre à l'heure cubaine

Le dauphin pour notre autre amie Thaly



 









On le sait que c'est ta boisson préférée Thaly (notre autre amie N)


  
 





N'empêche que ce coin paradisiaque m'a réchauffé la couenne!  J'avais tellement rêvé de sa chaleur quand je voyais ce même sable blanc fin sur la plage de Iona.  Je me souviens que lorsque j'étais sur cette petite île d'Écosse, j'étais toujours étonnée de voir cette magnifique plage et un plongeur m'avait expliqué que ce sont les courants marins qui transporte ce sable si fin et si blanc d'un bout à l'autre de l'Atlantique.  Je me suis souvent assise en songeant aux gens qui devaient se trouver sur cet autre rivage très éloigné et là, j'avais enfin fait le pont entre les deux points!




 












N'empêche que Cuba c'est plus que ça et je rêve un jour d'avoir accès à ces autres aspects, bien que pour l'heure, le but du voyage fut atteint et "la madame était bien contente"!!


Cela a de beaux avantages d'être nomade tout de même, non?

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